L'Univers a quelque-chose à nous dire.
Devant tous les exemples de la stupidité du genre humain, l'Univers a demandé à l'Entreminuit de délivrer un message aux hommes et aux femmes en provenance de l'Infini...
...que je vous laisse découvrir.
(pour de vrai, l'Entremidi croit, mais pas sûr sûr, qu'il s'agit d'une partie de la nébuleuse de l'Aigle. À vérifier !)
Histoire de rappeler à certains (voire nous tous) que notre planète est notre seule refuge et de vous donner quelque peu le vertige (voire des... angoisses), voici quelques clichés de la Terre pris depuis l'espace.
- Ce "clair de Terre" est le premier cliché de la planète vue depuis l'espace. Il a été pris en décembre 1968 par Bill Anders, un des astronautes de la mission Apollo 8, alors qu'ils étaient en orbite autour de la Lune.
- Le deuxième cliché montrant une vue du système Terre-Lune a été pris durant la nuit du 3 juillet 2003 par la sonde Mars Express depuis une distance de 8 millions de km sur sa route vers Mars.
- Et enfin le troisième cliché, le plus impressionnant, de la Terre a été pris le 15 septembre 2006 par la sonde spatiale Cassini en orbite autour de Saturne (Une sonde spatiale est un vaisseau non habité envoyé par l'Homme pour explorer de plus près de (La mission Cassini-Huygens est une mission spatiale automatique réalisée en collaboration par le Jet Propulsion...).
Le système Terre-Lune est le point bleu lumineux du côté droit de l'image au-dessus du centre. La vue agrandie de l'image (carré en haut à gauche) montre la Lune comme une protubérance sombre en haut à gauche de la Terre. L'image a été prise à une distance d'approximativement 2,1 millions de km(Le mètre (symbole m, du grec metron, mesure) est l'unité de base de longueur du Système international. Il est défini...) de Saturne. La sonde se trouvait alors à environ 1,5 milliard de km de la Terre.
Alors, vous faisez moins vos malins, hein, maintenant ???!!!
Pour terminer, changez maintenant votre système de pensée, vous entrez dans le monde quantique...
Les lois de la physique quantique conduisent, à notre échelle, à des prédictions très étranges. le monde microscopique (quantique) est décrit en terme de probabilités et le déterminisme classique n'existe plus. On ne peut plus parler de la position d'une particule, mais seulement de sa probabilité de se trouver en un endroit donné. Ce concept est plutôt étrange, en tout cas très éloigné de notre expérience de la vie quotidienne.
En 1935, Erwin Schrödinger proposa l’expérience de pensée connue depuis sous le nom de «chat de schrödinger», afin de faire surgir l'indéterminisme microscopique dans le monde macroscopique de notre vie quotidienne.
L'idée de Schrödinger consiste à placer un chat dans une boite fermée. Cette boite est pourvu d'un système destiné à tuer le chat (il s'agit évidemment d'une expérience de pensée.). Ce système est constitué d'un flacon de poison, d'une petite quantité de matière radioactive et d'un compteur Geiger.
Lorsque la première désintégration d'un noyau radioactif se produit, le compteur Geiger réagit en déclenchant un mécanisme qui casse le flacon et libère le poison mortel. Ainsi, la désintégration d'un noyau radioactif, un processus microscopique, se traduit par la mort du chat, un événement macroscopique. La désintégration d'un noyau radioactif est un processus purement quantique qui se décrit en termes de probabilités. Il est impossible de prévoir quel noyau se transformera en premier ou bien quand la première désintégration se produira. La seule chose que nous puissions calculer est la probabilité qu'un certain nombre de noyaux se soient désintégrés après un temps donné. Nous pouvons en particulier choisir une substance radioactive adéquate de telle façon qu'après cinq minutes, il y ait 50 pour cent de chances qu'un noyau se soit désintégré et 50 pour cent de chances que rien ne se soit produit. Fermons donc la boite et patientons pendant cinq minutes. Puisque la désintégration radioactive s'exprime en termes de probabilités, le sort du chat ne peut être décrit qu'en termes similaires. Après cinq minutes, il y a donc 50 pour cent de chances que le chat soit mort et 50 pour cent de chances qu'il soit vivant.
Dans l'interprétation traditionnelle de la mécanique quantique, le
chat n'est alors ni mort, ni vivant. Il se trouve dans une
superposition de ces deux états.
Ce n'est que lorsque nous ouvrons
finalement la boite que l'un des deux états possibles devient la
réalité. Le chat est alors soit vivant, soit mort.
Logique, non ?! Tout le monde a compris et intégré le concept.
Alors, maintenant...
tout comme l'Entremidi, vous pouvez reposer votre cerveau !